Depuis les événements tragiques de Saint-Jean-sur-Richelieu au mois d'octobre 2014, suivis de ceux d'Ottawa et de ceux de Paris au mois de janvier 2015, le mot radicalisation a fait son éruption dans le langage de l'actualité. Il devient le phénomène qui suscite le plus d'attention parmi toute l'actualité.

Une pauvreté pleine de richesse est un vide plein. Sans rien avoir, vous avez tout. Une pauvreté vide de richesse est un plein vide. Un plein de misère sans espoir. Ainsi est votre patrie, la votre et la votre uniquement. Vous êtes d’accord! Non?

Chicoutimiennes, chicoutimiens! soyez en rassurés, il fera beau et chaud chez vous cette année encore. L’automne et l’hiver seront doux et cléments. Depuis un peu plus d’une année, vous vivez sans le savoir sous deux mesures d’intensité différentes : une mesure numérique en degrés, une autre angélique.

Le 12 avril 2014, j'ai envoyé une lettre à la présidence de la République portant sur l'officialisation de tamazight en Algérie. Demeurée sans effet, la relance des Autorités publiques et des personnalités est indispensable.

Il n'est pas fait pour vous, circulez! Le chien; vous, aux pots dans le crane, un crane vide. Ces mots vous procureront des nausées.
C'est un bipède. Il se meut aussi en quadrupède. Peut dormir sur la poitrine. Quand le maitre l'appelle, il se met sur ses deux pattes.

Je ne connais ni d’Ève ni d’Adam Lwenes Matoub.

Dans mon exil canadien, lui, le démiurge en compagnie d’autres artistes fait partie de ceux qui m’aident à le supporter. À avoir plus mal aussi. L’exil est ce moment bref, lancinant où vous voulez voir les vôtres, embrasser votre mère avant qu’elle ne parte; l’exil c’est juste une fraction infinitésimalement petite du temps où vous voulez marcher sur votre terre. L’exil c’est juste des larmes. C’est tout. Pas c’est tout; c’est tout!

Connaissant votre intelligence, je suis sûr que devez regretter de vous être engouffré et de nous avoir entraîné avec vous dans un débat stérile et sans issue.

Suite à votre publication à la page 23 (NDLR: Journal Alfa), dans l’article "Berbère TV, bientôt à Montréal" la phrase suivante de Monsieur At-Ali uqafi, membre de l’association « Tiregwa » : "Berbère TV a entamé avec Tiregwa l’idée de s’installer au Canada,…" dit quelque chose qui n’est pas tout à fait exact que je souhaite clarifier. En effet, au moment où l’on attend impatiemment l’aboutissement d’un projet pour qui des personnes ont fourni tant d’efforts, voire des sacrifices, certains veulent s’accorder les mérites d’un travail collectif.

Un film provocateur vient une fois de plus perturber la paix dans le monde.
Il est très pertinent de s’arrêter sur quelques questions, afin de comprendre les buts d’un tel geste : Quel est le but de ces gestes offensants à l’endroit des musulmans? Pourquoi maintenant? Et, à qui profitent ces gestes?