Chante-moi Alger...
Chante-moi Alger
Panse mes blessures
du léger beaume de ses airs purs
brûlures d'exil , être ravagé
Coeur enchaîné, rêves saccagés
Chante-moi Alger
Panse mes blessures
du léger beaume de ses airs purs
brûlures d'exil , être ravagé
Coeur enchaîné, rêves saccagés
«Le silence est d'or, c'est peut-être pour ça que je suis pauvre.» «Chaque vote, chaque année, même crochet, c'est pour les mêmes salauds.» «Regardez-vous, vous êtes la preuve que le refus est global.» Ce sont là quelques-unes des phrases-chocs du slammeur québécois d'origine algérienne Mohammed, tirées de son premier album L'ombre d'un doute. Vous avez dit le poids des mots?
Le Montréalais Mohammed arrive avec L'Ombre d'un doute, un premier disque dans lequel son slam parle d'identité et d'exil avec une relative simplicité. Une réflexion citoyenne.
La bibliothèque du palais de la culture Moufdi Zakaria d’Alger a accueilli, lundi dernier, la cérémonie de remise des prix aux lauréats du concours «Contes et légendes du patrimoine saharien», organisé dans le cadre de la première édition du Festival culturel international d’Abalessa Tin Hinan qui s’est déroulé au mois de février dernier à Tamanrasset.
Je suis belle, de cœur et de visage. Je suis tombée en plein amour avec mon image. J’assiste à la sublime entente entre la fleur dyade que je suis. Je déguste l’harmonie corporelle entre mon cœur et mon corps, n’est ce pas un fabuleux couplage?
Un poème qui nous a été envoyé par Kahina Bouaou de Laval, 14 ans