Pile ou face, un recto semblable au verso
Je me présente! Votez pour moi.
Je me présente! Votez pour moi.
Il y a ceux qui disent et confirment avec preuves à l'appui que les États-Unis ont une main de pieuvre dans le déclenchement des révoltes de la rue arabe. Il y a ceux aussi, qui sont irrités par la dégarniture des dessous, car ils se sentent démasqués et qu'on a levé le voile et déterré la collaboration de la main étrangère.
El Djdid Habou ou laqdim ma tfarat fih. Aime le nouveau et ne lâche surtout pas l’ancien. Ce dicton ou cet adage nord africain rappelle les gens à un certain ordre moral à l’égard de la source ou l’origine.
Pauvre-toi cher Lahouari Belmadani. Retourne chez toi et laisse les lèches-cul tranquilles. Tu as reçu toute une claque sur la gueule. Mais au moins tu as osé faire ce que certains n’ont pas osé penser, voire même le songer. En tant que croyant, tu as fais ton devoir. On appelle cela Adaaf Al-imane (le moindre des gestes de la bonne foi).
Comme vous le savez, la pommade miracle que l’on nomme Flex-O-Flex, guérit tout. Ou presque. Enfin, elle fait du bien semble t-il, là où ça fait mal. Eh bien, notre député, serait semble t-il bien dépité et a décidé de se convertir en guérisseur a l’image de cet onguent si bénéfique pour les Bobos.
Antoinette, ou Toinette comme préférait l’appeler sa mère, s’est bien organisée pour quitter ce beau monde et partir dans l’univers inconnu.
Un bilan sarcastique de la visite de nos glorieux
À l’Attention du président el Hadj - Bureau de la fédération algérienne de football (FAF)
De par sa nature, un horloger n’est jamais satisfait de l’heure de sa montre ni de celles des autres. Il est souvent anxieux par l’harmonisation du tictac arrangée à la raideur de l’attaque au lieu de la tactique.
«Tous les caniches aboient hargneusement à la moindre occasion mais spécialement quand il ne se passe rien. L’élégance du Hérisson, Muriel Barbery. »
Ils étaient très nombreux, à travers tout le Québec et même au-delà, à témoigner un appui dès la parution du livre, Sa vie contre-Oran. Oran, une ville qui témoigne son refus et son vomi à une personne algérophobe, Wahranophobe et démocratophobe. Oran, une ville debout, voilée d’un haïk Mramma de couleur or pour avilir la couardise et la détermination face à la rage d’un combat contre une femme ménopausée précocement dégageant des chaleurs néfastes et catastrophiques à la couche d’ozone et au réchauffement de la planète.
Ne m’en voulez pas, je suis comme ça! C’est ainsi que chantait Khaled, le King de son royaume.
Le dernier quart de l’an 2008 et l’année 2009, flèches et fléchettes n’arrêtaient pas de me viser tout azimut. L’ère 2010 apparaît plus féroce à tout jamais.
Là-haut, je suis bien là-haut. Là où l'abstrait est l'unité de mesure de l'inconnu. Je suis là-haut, sans prêter ma voix comme l’ont fait Rachid Badouri et Charles Aznavour. Je suis là-haut sans me procurer un nez de clown ou investir des millions de dollars de la liberté.
D’entrée de jeu et pour préciser un point crucial, je dois vous avouer qu’un étrange sentiment de manque d’inspiration habite mon intérieur, et ce, depuis que le onze national a donné le plus beau cadeau à la nation algérienne, a réconcilié la fraternité entre le peuple et par le fait même a prolongé la durée de vie du mandat présidentiel pour Ad vitam aeternam.