El Djdid Habou ou laqdim ma tfarat fih. Aime le nouveau et ne lâche surtout pas l’ancien. Ce dicton ou cet adage nord africain rappelle les gens à un certain ordre moral à l’égard de la source ou l’origine.

Pauvre-toi cher Lahouari Belmadani.  Retourne chez toi et laisse les lèches-cul tranquilles.  Tu as reçu toute une claque sur la gueule.  Mais au moins tu as osé faire ce que certains n’ont pas osé penser, voire même le songer.  En tant que croyant, tu as fais ton devoir.  On appelle cela Adaaf Al-imane (le moindre des gestes de la bonne foi).

Comme vous le savez, la pommade miracle que l’on nomme Flex-O-Flex, guérit tout. Ou presque. Enfin, elle fait du bien semble t-il, là où ça fait mal. Eh bien, notre  député, serait semble t-il bien dépité et a décidé de se convertir en guérisseur a l’image de cet onguent si bénéfique pour les Bobos.

Caricature de Renart LéveilléDe par sa nature, un horloger n’est jamais satisfait de l’heure de sa montre  ni  de celles des autres.  Il est souvent anxieux par l’harmonisation du tictac arrangée à la raideur de l’attaque au lieu de la tactique.

Ils étaient très nombreux, à travers tout le Québec et même au-delà, à témoigner un appui dès la parution du livre, Sa vie contre-Oran.  Oran, une ville qui témoigne son refus et son vomi à une personne algérophobe, Wahranophobe et démocratophobe.  Oran, une ville debout, voilée d’un haïk Mramma de couleur or  pour avilir la couardise et la détermination face à la rage d’un combat contre une femme ménopausée précocement dégageant des chaleurs néfastes et catastrophiques à la couche d’ozone et au réchauffement de la planète.

D’entrée de jeu et pour préciser un point crucial, je dois vous avouer qu’un étrange sentiment de manque d’inspiration habite mon intérieur, et ce, depuis que le onze national a donné le plus beau cadeau à la nation algérienne, a réconcilié la fraternité entre le peuple et par le fait même a prolongé la durée de vie du mandat présidentiel pour Ad vitam aeternam.