L’occasion ratée d’Octobre 1988 : les oubliés de l’Histoire
C’est l’une des pages les plus noires dans l’histoire de l’Algérie. Et par un étrange hasard, c’est également l’une des plus méconnues malgré sa relative proximité temporelle. Il y a seulement un peu plus de deux décennies, de jeunes Algériens ont osé affronter l’armée algérienne qui, jusqu’alors, exerçait une mainmise quasi-totale sur le pays des un million et demi de martyrs. Des dizaines d’entre eux ont chèrement payé leur cri de désespoir.
Je commencerai par l’authentique. J’étais dans la joie festive. J’étais entre mes chers(es), mes proches et entre celles et ceux que j’adore. Soudainement, une triste nouvelle est tombée comme une bombe. Je ne l’attendais pas. Ahmed B, fouillait dans son plus profond pour trouver un qualificatif à ce grand homme qui vient de s’éteindre. Avec brio, Ahmed M, sort l’appositif de l’authenticité. Tout le monde s’est mis en accord, même le sage homme à barbe blanche. Ce dernier a entériné le mot, et il est même allé à ajouter que l’homme était absolument un franc vrai pas un hypocrite.
Il ne fait pas bon d’être libanais en cette rentrée automnale. Le film qu’a consacré la toute puissante télévision publique Radio-Canada à certaines pratiques de quelques descendants des Phéniciens vivant au Canada y est pour beaucoup.
La polémique est intense. Elle dure depuis le début du ramadan. À l’origine, il y a la décision d’une association musulmane, l’une des plus grandes au Canada, mais à l’influence dérisoire, d’honorer l’ancien ministre de la Citoyenneté et de l’Immigration, Denis Coderre, une personnalité qui suscite chez les Canadiens de confession musulmane méfiance et rejet.