Après la faillite de la presse marocaine de faire la publicité d’un « Sahara marocain », le renseignement marocain s’est orienté vers une autre astuce : créer des sites sous le nom d’Algériens vivant à l’étranger. Sur ce genre de sites, la constante c’est l’approbation du Plan d’autonomie marocain. L’objectif est de créer l’illusion qu’il existe une opinion publique qui est contre la politique algérienne, et que la position officielle de l’Algérie ne dépasse pas les seuls tenants du pouvoir.

Il y a deux jours, la presse algérienne a fait dire à Chadli, s’appuyant sur des sources médiatiques japonaises, auxquelles il aurait remis un écrit sous forme d’interview, que "si le pouvoir avait accepté les résultats des élections remportées par le FIS, en 1992, « on ne serait pas arrivé à cette dangereuse situation ». « J’ai voulu que le peuple algérien assume la responsabilité d’avoir choisi ses représentants en toute liberté il aurait fallu que nous respections le choix du peuple algérien et donner une chance au Front islamique du salut (FIS) de constituer son gouvernement. »

De même, tout le monde connaît les chaînes paraboliques qu’a lancées le Maroc. En plus des stations qui appartiennent à l’état, on trouve medi@sat qui est financée par la France et la Maroc. En effet, si on regarde ces chaînes, on constatera « la Marocanité du Sahara occidental », et de montrer l’Algérie comme étant un pays comme la Somalie ou le Soudan où règnent l’insécurité, la faim et le crime. C’est un acte qui veut imposer une certaine réalité en ce qui concerne le Sahara occidental et ternir l’image de l’Algérie sur le plan régional et sur le plan international.

Un document historique et académique algérien a été récemment publié au Japon. Il s’agit d’une longue interview accordée par l’ex-président de la République, Chadli Bendjedid, à deux chercheurs japonais, Kisaichi Masatoshi et Watanabe Shoko. Ces deux derniers travaillent sur l’Algérie depuis plusieurs années et ont déjà publié le premier livre en japonais sur l’Algérie.

En fait, le renseignement marocain est arrivé à une impasse, née en réalité d’une position « de principe » qui ne permet aucune concession, à savoir garder le Sahara sous domination. Un responsable des services secrets marocains avait dit textuellement : « Le Polisario sans l’Algérie ne peut rien faire, et partant de ce constat, il est impératif soit d’attiser les tensions entre les deux parties, soit de tenter de « casser le maillon fort » de l’équation, à savoir l’Algérie ».

Patrick Parisot, l’ambassadeur du Canada en Algérie a démissioné la semaine dernière de son poste pour revenir en politique au sein du parti libéral du Canada.Selon l’information rapportée par l’agence de presse canadienne, « à compter du 7 octobre, il deviendra secrétaire principal du cabinet » du chef du parti libéral du Canada Michael Ignatieff. Le gouvernement canadien n’a pas encore annoncé le successeur de Patrick Parisot.

L’affaire du viol et du meurtre d’une jeune algérienne à la Mecque connait un développement particulièrement avec l’insistance des pèlerins algériens à punir les responsables de cet acte public, ignoble et près de la mosquée Aicha. Les algériens veulent que la sentence soit exécutée avant qu’ils ne quittent les Lieux Saints de l’islam. Le Consul général à Djeddah, Salah Attiya lui, est intervenu pour calmer les esprits et a réussi à disperser les algériens et des pèlerins d’autres nationalités qui se sont rassemblés en solidarité avec le père de la victime.

L’histoire de Hacène Zemiri est un aperçu de l’iniquité du pays de l’Oncle Sam‬ et reflète l’inutilité d’occulter la vérité, comme dans le film du fugitif.Lorsqu’un enfant ment, il se cache pour éviter l’affrontement et quand la Maison Blanche ment et y croit, elle efface toutes ses marques à la prison de la honte de Cuba.

"J'ai été destinataire de deux messages de la Maison-Blanche. Le premier cherchait à m'enrôler pour le compte de la CIA, après avoir subi des entrainements, avant de m'envoyer vers des pays arabes pour des missions d'espionnage. Le second cherchait à me recruter pour le compte de l'armée américaine, avant de m'envoyer faire le traducteur en Irak, ou dans un pays arabe ou les GI's sont concentrés. Tout cela moyennant de fortes sommes d'argent. Evidemment, j'ai refusé. Par la suite, j'ai été enlevé et torturé par le FBI, au motif de liaison avec Al Qaida.