«Une culture, ça se partage ». Zineb Sahli se reconnaît bien dans le slogan du festival du monde arabe de Montréal (FMA) au point ou elle a fini par faire partie de l’équipe dirigeante depuis la deuxième édition. Originaire de Laghouat, l’Algérienne est une femme très impliquée dans le mouvement associatif montréalais. Active de nature, au four et au moulin, elle travaille plus de douze heures par jour, ce qui ne l’empêche pas de cumuler plusieurs fonctions qui lui laissent peu de temps libre. Sa participation à la plupart des activités culturelles algériennes et canadiennes fait d’elle une femme très convoitée par son expérience et son sérieux. Malgré cela peu de gens savent ce qu’elle fait et est réellement.

Lamine Foura, concilie avec succès études, travails et activités communautaires, c’est un homme exceptionnel, véhiculant des vraies valeurs humaines - travail, famille et respect.

Plus de quinze années passées au Canada, j'ai pu découvrir plusieurs visages de la communauté algérienne. Les déplacements migratoires de notre communauté se fait généralement de l'Est vers l'Ouest canadien. Depuis quelques temps,  on commence à découvrir des algériens et algériennes qui brise cette habitude.

Natif d'Alger (Algérie), Youcef Ben-Raïs a la musique qui coule dans ses veines. Il est issu d’une famille de mélomanes dont son arrière-grand-père pratiquait l’art musical.

Durant toute la vie, on mobilise nos forces et énergies pour la concrétisation d’un rêve qui ne nous abandonnera jamais, et dont la plupart d’entre nous ont peu de chance d’atteindre. Heureusement, d'autres le réalisent, l’incarnent et nous le livre sous formes d’exploits et d’événements magiques.

Il a la sagesse de celui qui a tout surpassé, tout raflé, pourtant Hichem Djemai, puisque c’est de lui qu’il s’agit n’a que 15 ans! Il faut dire que le sport la mûrit avant l’heure. Son talent, sa personnalité et son tempérament font de lui un véritable atout pour réussir dans son sport favori.

Durant les moments forts de la conquête spatiale, le poète Algérien, Mohamed El-Aid al Khalifa, natif de Biskra, impressionné et inspiré a la fois par les images qui nous arrivaient du ciel avait écrit dans l’un de ces poèmes, « Ina achababa ida sama bitoumouhéhi jaâla ennoujouma mawatia al akdami » autrement dit « Si la jeunesse s’accroche a ses ambitions, elle marchera un jour sur les étoiles ».

Bercée depuis sa plus tendre enfance par la musique arabo-andalouse et la voix de sa mère chantant toute la journée en arabe, espagnol et en français, Khalida fut imprégnée toute petite de cette chaleur musicale qui flotte sur la méditerranée. Voila déjà dix ans qu'elle chanta pour la dernière fois en public à Alger à la Salle Ibn Khaldoun sous la direction du réputé professeur et compositeur Rabah Kadem dont elle fut l'élève pendant 4 ans.