Un Harraga face à un chiffre 21. Dour El-Wahran Dour
Natifs du quartier populaire oranais, les Planteurs, Mokhtar et Hichem viennent, il y a à peine deux mois, de souffler leurs dix-huitièmes bougies consécutivement.
Natifs du quartier populaire oranais, les Planteurs, Mokhtar et Hichem viennent, il y a à peine deux mois, de souffler leurs dix-huitièmes bougies consécutivement.
Comme disait autrefois, jadis et naguère, mon ami, Abou Nabil, Samir Ben, à l’unanimité et pour ne pas dire la totalité, la majorité de la diaspora vous a rendu des beaux hommages. Pour ma part, personnellement, que vous m’aimez ou me respectez, je ne vous aime pas.
Je commencerai par l’authentique. J’étais dans la joie festive. J’étais entre mes chers(es), mes proches et entre celles et ceux que j’adore. Soudainement, une triste nouvelle est tombée comme une bombe. Je ne l’attendais pas. Ahmed B, fouillait dans son plus profond pour trouver un qualificatif à ce grand homme qui vient de s’éteindre. Avec brio, Ahmed M, sort l’appositif de l’authenticité. Tout le monde s’est mis en accord, même le sage homme à barbe blanche. Ce dernier a entériné le mot, et il est même allé à ajouter que l’homme était absolument un franc vrai pas un hypocrite.
Les amateurs de cérémonies n’ont pas le droit de dire qu’ils n’ont pas été bien servis lors de la septième édition de la nuit du Fennec d’Or 2010. L’organisation de ce beau gala était merveilleusement bien soignée et surtout que nous avions eu plein la vue, deux semaines plutôt, les Oscars et Cannes.
Les Boufarikois peuvent se Peter les bretelles en signe de fierté pour les agrumes comme l’orange que ce soit la Clémentine ou la Tompson. Il ne faut pas oublier bien sur, la fabuleuse fringale ramadanesque, la Zlabiya. Au Québec, le pays de la poutine est nulle autre que Drummondville.
Ou l’autre revers de la chronique de la vie montréalaise à la télévision algérienne.