Le soutien des Algériens du Canada au hirak ne se dément pas, plus de 9 mois après le début du mouvement populaire. Une opération «zéro vote» a été lancée samedi dernier à Montréal, au premier jour du vote anticipé pour la diaspora.

Le soutien des Algériens du Canada au hirak ne se dément pas, plus de 9 mois après le début du mouvement populaire. Une opération «zéro vote» a été lancée samedi dernier à Montréal, au premier jour du vote anticipé pour la diaspora.
Algérie dans les années 1990. Nedjma, une étudiante de dix-huit ans passionnée de stylisme, refuse de laisser les événements tragiques de la guerre civile algérienne l'empêcher de mener une vie normale et de sortir la nuit avec son amie Wassila.
Les membres de la communauté algérienne de Montréal ont manifesté, dimanche, pour une 38e semaine, afin d’appuyer les revendications de leurs compatriotes en Algérie, qui réclament un changement de garde significatif au sein du gouvernement.
Dans cette interview, Omar Aktouf, professeur titulaire à HEC Montréal, auteur de plusieurs livres sur le management, porte un regard très optimiste sur la révolution en cours dans le pays. Il estime qu’il était temps que le peuple fasse sa révolution après avoir été spolié après celle qu’il avait faite contre la France coloniale. Il analyse également certaines questions d’actualité, dont les mesures comprises dans le projet de loi de finances pour 2020.
Des dizaines d’Algériens ont organisé samedi un rassemblement de protestation devant le siège de SNC-Lavalin à Montréal pour exiger la vérité sur la corruption de cette compagnie canadienne pour l’obtention de marchés en Algérie.
Le professeur Omar Aktouf revient dans cet entretien sur son dernier séjour en Algérie qui lui a permis de prendre part directement aux manifestations qui se déroulent dans le pays depuis le 22 février dernier.
«Donner la chance aux jeunes talents»
«Notre objectif est de produire une information de fond»
«Porter la voie des Algériens vers la sphère internationale»
A dix mille kilomètres d’ici vit une communauté algérienne, celle de Montréal au Québec, en plus de celles qui ont choisi d’immigrer dans d’autres provinces du grand Canada. Et comme dans chaque groupe social de même origine, établi à l’étranger, les médias communautaires de cette région outre-Atlantique, ne manquent pas de s’illustrer, offrant ainsi aux citoyens de même culture, les nouvelles du bled, tout en les gardant bien informés sur l’actualité politique, économique, culturelle et sportive de l’Algérie.
Des centaines de membres de la diaspora algérienne sont descendus dans les rues du centre-ville de Montréal dimanche afin de revendiquer le respect du droit à la liberté d’expression dans leur pays d’origine, où un flou démocratique mine le climat politique depuis maintenant plusieurs mois.
Pour le 27e dimanche à Montréal en écho au 27e vendredi en Algérie, les Algériens du Canada maintiennent intact leur soutien au Hirak qui balaie le pays depuis le 22 février dernier.
ABDELKRIM ABELLA fait parti de cette catégorie d’écrivains poètes qui ont la plume facile.
En Algérie, les manifestations du printemps 2019 ont vu ressurgir une figure aussi discrète qu’emblématique : Djamila Bouhired. L’octogénaire a rompu un long silence pour apporter son soutien aux jeunes Algériens.
Le rappeur Enima continue de faire parler de lui dans les médias. Après avoir été critiqué pour avoir posé avec Ludivine Reding, l’actrice dans Fugueuse, lors du festival Metro Metro en mai dernier.
Un Montréalais de 20 ans a connu une fin tragique vendredi dans un parc d’Hochelaga-Maisonneuve, à deux pas de chez lui, quand il a été tué par balle en prenat la défense d’un ami dans un conflit qui a dégénéré.
MONTRÉAL – Équipés de fumigènes, de feux d’artifice et affichant leurs plus grands sourires, des centaines de partisans en délire ont célébré la victoire de l’Algérie à la Coupe d’Afrique des Nations, vendredi, dans les rues du Petit Maghreb.
En tant qu’Algérien et en tant qu’être humain, jamais, je crois, je ne me suis senti autant outré et méprisé par les faits et actes de notre pouvoir algérien, que depuis ce qui se passe ces dernières semaines.
Journaliste, écrivain, producteur et animateur radio, Abdelkrim Abella est aussi poète.