«Je voudrais que le CKC devienne l'union des faisceaux qui vont éclairer l'avenir des Kabyles au Canada et l'exemple à suivre pour tous les Kabyles de la diaspora ici et ailleurs.»

«Je voudrais que le CKC devienne l'union des faisceaux qui vont éclairer l'avenir des Kabyles au Canada et l'exemple à suivre pour tous les Kabyles de la diaspora ici et ailleurs.»
La vie et la mort font partie de notre existence. Très souvent, on essaie d'oublier la mort pour vivre, mais elle nous rattrape parfois d'une façon brutale.
En ce 2 février 2017, des milliers de personnes se sont déplacées à l'aréna Maurice-Richard pour se recueillir à la mémoire des trois victimes de l'attentat terroriste perpétré dimanche dernier dans une mosquée de la Ville de Québec.
Où êtes-vous Monsieur Drainville?
Le 28 juillet 2015 au Balattou de Montréal, Hakim Kaci s’est produit pour la première fois en tant qu’artiste accompli. Il a certes chanté maintes fois avec d’autres artistes ou d’autres groupes, mais cette fois-ci, la scène était à lui et pour lui. Accompagné par Sosta, un groupe méticuleux et professionnel dirigé par Rafik Abdeladim, Hakim a pu, en une soirée, séduire, emballer et interpeller un public avide de talent et de textes articulés. Il a chanté du kabyle, de l’algérien et du français. Aussi, pour la première fois, cette salle, réservée habituellement aux hommes, a été envahie par des femmes kabyles, tunisiennes, égyptiennes et québécoises pour voir et écouter cet artiste sympathique et chaleureux. La soirée a été un succès sur tous les plans.
Invité par la Fondation Tiregwa, maître Ali Yahia Abdenour sera au Canada du 12 au 25 du mois de novembre 2014 pour donner une série conférences sur son livre consacré à la crise antiberbère de 1949, mais aussi, il aura sûrement beaucoup de choses à dire sur la crise actuelle qui ronge l’Algérie dans tous les domaines.
"Mère, tant que je suis, l’espoir est là" dira un jeune artiste chaoui en guise de soutien à la Kabylie. Et tant que la relève de qualité est là, la chanson kabyle et même amazighe ne basculera pas dans le pire des folklores.
La semaine culturelle amazighe d’Ottawa-Gatineau qui s’est déroulée du 23 au 31 mai a été riche et diversifiée dans les enceintes des deux universités : Ottawa et Outaouais. Organisée par la Fondation Tiregwa et l’Acaoh, cette manifestation a offert au public de cette région ainsi qu’à celui de Montréal des conférences assurées par des Kabyles et des Amazighs tunisiens et marocains, des expositions et un spectacle amazigh magistralement animé par Nasser Uquamum.
Le sort de Tamazgha se joue en Kabylie. C’est un fait. La Kabylie séduit, dérange, résiste et existe toujours et pour toujours n’en déplaise à ses détracteurs. Elle habite ses enfants, hante ses ennemis et impressionne les penseurs par son modèle sociétal.
« On n’a pas encore chassé de ce pays la douce tristesse léguée par chaque jour qui abandonne. Mais le cours du temps s’est comme affolé, et il est difficile de jurer du visage du lendemain. Le printemps reviendra t-il ? »
Le Dernier été de la raison
Le 31 mai 2014 aura lieu le concert de "Amam" au collège de Montréal. Cet événement marquera le sixième anniversaire de la création de l’orchestre des Amis de la musique andalouse de Montréal.
La semaine culturelle amazighe aura lieu à Ottawa et à Gatineau du 24 ou 31 mai 2014. Un programme riche est concocté pour faire rayonner Tamazgha, l’Afrique du Nord : conférences, projections, défilé de mode et spectacle. Pour mieux saisir la portée de cet évènement, M. Racid At Ali Uqaci, l’un des organisateurs, a répondu généreusement à nos questions.
Besbouss est le titre d’une pièce de théâtre sur l’immolation de Bouazizi qui a été présentée du 22 avril au 17 mai au théâtre Quat’Sous de Montréal.
Ne touchez pas à mon 20 avril!
Amazighs, unissons-nous!
Le 34ème anniversaire du printemps amazigh et le 13ème anniversaire du printemps noir sont marqués cette année par une violence et une répression tellement atroces et humiliantes qu’on a l’impression d’être au Chili de Pinochet.
La démocratie serait le moindre mal comme l’avait souligné Churchill, l’ancien premier ministre britannique. L’alternance au pouvoir ne répond plus aux critères initiaux de sanctionner un gouvernement qui a failli à ses devoir et d’en choisir un autre qui pourrait faire mieux. Au Québec, lors de cette campagne électorale unique en son genre, les moyens utilisés par certains partis politiques en lice pour courtiser l’électorat sont loin d’être catholiques.
Suite au décès tragique de Naima Rharouity, un rassemblement a eu lieu ce dimanche 2 février 2014 devant la station de métro Fabre. Un espace a été réservé aux fleurs et aux bougies qui illuminaient le portrait de Naima à côté duquel on pouvait lire ce message: " On t’aime Naima".
En ce 26 janvier 2014, a eu lieu le lancement du troisième album de Rezki Grim au club Balattou de Montréal. Un album dans lequel, l’identité, la patrie, l’exil et les valeurs kabyles sont omniprésentes. Organisé par le centre culturel kabyle, en collaboration avec les Nuits d’Afrique, ce spectacle a été marqué par la présence du drapeau amazigh en arrière plan.
Rude et froid comme j'ai appris à le connaître depuis dix huit ans, ce début d'hiver est bien agité. A vrai dire, il ne m'impressionne plus. Je l'ai tout bonnement, disons, un peu apprivoisé.
Berbanya a organisé un gala mémorable à l’occasion du lancement de son premier album ‘’L’autre rive’,’ce samedi 16 novembre au club Lambi, sur Saint-Laurent à Montréal. Plusieurs artistes de la communauté algérienne ont pris part à cet évènement.
À la mémoire du père Jeanney qui nous à quitté tout récemment. Au souvenir de mon quartier et de ses habitants . À tous ces wlad Houma, disparus, exilés ou vivant encore en Algérie, je republie ce texte écrit en 2011