«Je voudrais que le CKC devienne l'union des faisceaux qui vont éclairer l'avenir des Kabyles au Canada et l'exemple à suivre pour tous les Kabyles de la diaspora ici et ailleurs.»

«Je voudrais que le CKC devienne l'union des faisceaux qui vont éclairer l'avenir des Kabyles au Canada et l'exemple à suivre pour tous les Kabyles de la diaspora ici et ailleurs.»
En ce 2 février 2017, des milliers de personnes se sont déplacées à l'aréna Maurice-Richard pour se recueillir à la mémoire des trois victimes de l'attentat terroriste perpétré dimanche dernier dans une mosquée de la Ville de Québec.
Invité par la Fondation Tiregwa, maître Ali Yahia Abdenour sera au Canada du 12 au 25 du mois de novembre 2014 pour donner une série conférences sur son livre consacré à la crise antiberbère de 1949, mais aussi, il aura sûrement beaucoup de choses à dire sur la crise actuelle qui ronge l’Algérie dans tous les domaines.
La semaine culturelle amazighe d’Ottawa-Gatineau qui s’est déroulée du 23 au 31 mai a été riche et diversifiée dans les enceintes des deux universités : Ottawa et Outaouais. Organisée par la Fondation Tiregwa et l’Acaoh, cette manifestation a offert au public de cette région ainsi qu’à celui de Montréal des conférences assurées par des Kabyles et des Amazighs tunisiens et marocains, des expositions et un spectacle amazigh magistralement animé par Nasser Uquamum.
La vie et la mort font partie de notre existence. Très souvent, on essaie d'oublier la mort pour vivre, mais elle nous rattrape parfois d'une façon brutale.
Le 28 juillet 2015 au Balattou de Montréal, Hakim Kaci s’est produit pour la première fois en tant qu’artiste accompli. Il a certes chanté maintes fois avec d’autres artistes ou d’autres groupes, mais cette fois-ci, la scène était à lui et pour lui. Accompagné par Sosta, un groupe méticuleux et professionnel dirigé par Rafik Abdeladim, Hakim a pu, en une soirée, séduire, emballer et interpeller un public avide de talent et de textes articulés. Il a chanté du kabyle, de l’algérien et du français. Aussi, pour la première fois, cette salle, réservée habituellement aux hommes, a été envahie par des femmes kabyles, tunisiennes, égyptiennes et québécoises pour voir et écouter cet artiste sympathique et chaleureux. La soirée a été un succès sur tous les plans.
"Mère, tant que je suis, l’espoir est là" dira un jeune artiste chaoui en guise de soutien à la Kabylie. Et tant que la relève de qualité est là, la chanson kabyle et même amazighe ne basculera pas dans le pire des folklores.
Le sort de Tamazgha se joue en Kabylie. C’est un fait. La Kabylie séduit, dérange, résiste et existe toujours et pour toujours n’en déplaise à ses détracteurs. Elle habite ses enfants, hante ses ennemis et impressionne les penseurs par son modèle sociétal.